Tailleur pour Dames (Pour Soie-Noire)

Le lendemain, j’étais prête à recevoir mon deuxième Client. Tout ce qu’il m’avait demandé c’est d’être vêtue d’un tailleur et le plus compliqué pour moi restait le choix du dit tailleur. Noir strict, rayé, chiné, jupe courte ou plus longue...Je décidai d’opter pour le chiné avec la jupe droite. Un choix qui, comme nous allons le voir plus tard, ne s’est pas avéré des plus judicieux. Mais, ne brûlons pas les étapes et débutons notre récit avec un petit ménage appliqué de l’appartement de ma charmante voisine. Puis, enfin, vint le moment de l’habillage qui ne me posa pas trop de problème si ce n’est la couture de mes bas qui refusait de se tenir droite. Les amateurs savent bien que ce qui n’apparaît comme un détail pour le commun des mortels est une clause de disqualification immédiate pour les inconditionnels ! Me voilà enfin prête, face au miroir de la salle de bains avec mon bâton de rouge à lèvres en main, quand la sonnette retentit. Déjà ? Bon signe ou mauvais signe, allez savoir. Peut-être est-il si excité qu’il a décidé de se présenter avec un bon quart d’heure d’avance sur l’horaire fixé. Quand j’ouvre la porte, je suis un peu surprise de me retrouver face à un homme très grand et très costaud enveloppé dans un large pardessus dans lequel un habile couturier aurait aisément pu tailler deux tailleurs comme le mien, justement. Mais, le plus impressionnant reste le casque de moto qu’il porte ! J’espère qu’il n’est pas venu me détrousser ! Il fait un pas dans la pièce et ôte tout de suite son casque (heureusement, j’allais me mettre à crier au secours !) pour faire apparaître une belle petite tête blonde avec de grands yeux bleus et une chevelure encore ébouriffée. Après les présentations d’usage, je suis frappée par ses yeux (encore) en mouvement perpétuel. Je tente de le décontracter un peu.
-Ne vous inquiétez pas, j’ai désactivé le système de surveillance.
Il ne réponds pas et poursuit son inspection. Manifestement il va falloir que je trouve quelque chose de plus persuasif que mon humour dévastateur.
Heureusement, il abandonne son état des lieux pour se concentrer sur ma personne . Voilà enfin une réaction plutôt normale. Ce qu’il découvre semble lui plaire et je constate avec soulagement que son visage se détends un peu.
D’une voix étonnement fluette pour un gaillard de sa corpulence, il me glisse
-Excusez-moi, madame, mais, je n’ai pas l’habitude… Enfin, vous comprenez..
(Mais oui je te comprends mon garçon). Je lui réponds simplement avec l’un de mes plus beaux sourire et l’invite d’un geste à s’asseoir sur un fauteuil.
Pendant que je m’assied en face de lui, il sort d’une main tremblante de la poche son pardessus un gros portefeuille plein à craquer de billets. Quelques-uns dégringolent sur le tapis. Je souris encore et lui demande :
-Vous ne voulez pas enlever votre pardessus ?
Il est vraiment incroyable cet homme là ! Je jurerais qu’il est monté sur ressorts. Le voilà debout en une fraction de seconde et le pardessus qui s’envole au-dessus de sa tête. A partir de ce moment là, je vous fait grâce de l’inévitable conversation qui suit.
-Quel métier ? Ha, c’est intéressant . j’ai un ami qui… Etc
Nous nous retrouvons donc quelques minutes plus tard, un verre à la main. Un des nombreux pouvoirs du champagne est sa faculté à détendre l’atmosphère et mon homme n’échappe pas à la règle. Il est maintenant beaucoup plus à son aise et ne cesse de lorgner mes jambes. Je prends bien soin de lui offrir le meilleur des spectacles en croisant et décroisant délicatement mes jambes. Le crissement des bas a un pouvoir au moins aussi important que celui du champagne !
Il a même prit des couleurs ! C’est bon signe. C’est le moment de me lancer.
Je m’approche de lui et lui glisse à l’oreille.
-Et si vous me disiez ce qui vous ferait plaisir ?
Il reste interdit une seconde ou deux puis, après une grande inspiration se lance à son tour.
-J’aimerai porter votre tailleur…
Après cet aveu, il regarde à droite et à gauche, pour bien s’assurer qu’aucune oreille indiscrète n’a enregistré ses paroles.
Quant à moi, sous le choc, je me demande bien comment je vais m’y prendre pour exhausser son vœu ! Je ne suis pas le génie de la lampe ! Garde ton calme, ma chérie. Tout va bien. Le principal, c’est de conserver ton petit sourire. Pas de panique. Je m’approche encore un peu plus et lui caresse doucement la joue. Il respire doucement, et accompagne mon geste. Sa peau est douce et il est brûlant comme la braise. Je lui murmure :
-Nous avons un gros problème..
Pour toute réponse, il se met à caresser mes jambes.
Certes, la caresse est douce et appliquée mais cela ne résout pas notre problème. Creuse toi un peu les méninges ma chérie, sinon, tu vas le perdre.
Tandis que sa main glisse lentement sous ma jupe, je crois que je viens de trouver la solution. Le résultat ne sera certainement pas à la hauteur de ses espérances mais, tentons tout de même le coup. Nous verrons…
Je lui ressert une coupe de champagne et j’en profite pour filer discrètement dans la chambre de ma voisine. Je l’entends qui me demande ce qui se passe mais, je suis mon idée. Devant le dressing, les deux portes grandes ouvertes, je soupire.
C’est bien le diable si ma charmante voisine n’a pas dans sa garde-robe un bon tailleur. Il est bien garni ce dressing ! J’écarte les cintres un à un… rien… Ha ! Voilà ce qu’il me faut.. Bon sang ! Mais Il est magnifique ce tailleur ! Un 46 de chez Guy Laroche blanc liseré de noir.. Quelle classe ! Elle cache bien son jeu, ma petite voisine. Comme je le confessais dernièrement à un ami, j’aimai bien, dans ma jeunesse visiter le tiroir des sous-vêtements de ces dames. Je passai un temps fou à fouiller dans les slips, culottes et soutien-gorges. Ensuite, je humai longuement leur parfum à m’en faire tourner la tête. L’ami , qui ne cesse de nous faire découvrir sur ce site sa magnifique collection, m’a confirmé qu’il pratiquait toujours ce jeu si délicieux. Eh bien, me voici à mon tour replongé dans ma jeunesse. Voyons ce tiroir.. Oui, pas de doute possible, c’est bien le bon ! Cette gentille effraction nécessite cependant certaines précautions. La plus importante est de bien veiller à ne pas déranger « l’ordre des choses ». Croyez-moi sur parole, ces dames ont toutes un ordre de rangement , même si, chez certaines, il se révèle quelque peu anarchique, il existe toujours, c’est indéniable. Amateurs, ne vous laissez pas emporter par votre passion et veillez à garder la tête froide. Je me retrouve donc a empiler délicatement les culottes et les soutien-gorge un peu trop sages sur le plateau de la commode en sachant que je finirai bien par trouver le trésor.
-Il y a un problème ? Me demande mon client depuis le salon. J’ai fait quelque chose de mal ?
-Non, pas du tout, je réponds… Patientez quelques minutes, j’arrive.
Voilà ! J’ai trouvé ! Magnifique ! Une guêpière noire avec sa paire de bas assortie.Je n’en demandai pas tant ! Il me suffit de régler les bretelles et les attaches au maximum et le tour est joué. J’imagine pendant quelques secondes ma petite voisine dans cette tenue et l’image me plaît bien.
-J’arrive !
De retour dans le salon, mon client devient beaucoup plus entreprenant. Il se lève d’un bond et tente maladroitement de m’enlacer. J’esquive son geste et l’att**** par la main pour le guider vers la chambre. Lorsqu’il découvre chaque pièce de mon butin rigoureusement alignée sur la couverture du lit, il comprends tout de suite mon plan et se met à rougir. C’est à mon tour de l’enlacer. Mais, mon geste n’est pas tout à fait gratuit (un comble pour une call-girl , non?) J’en profite pour le déshabiller lentement. Il se laisse déflorer en minaudant comme une vraie femme. Lorsqu’il se retrouve en caleçon j’ai le bonheur de pouvoir constater qu’il est en très grande forme!Je fais glisser lentement le caleçon et sa bite pointe tout de suite droit devant. Pour les curieux, j’ajouterai simplement qu’elle est bien en proportion avec ce corps d’athlète. Mais, je dois reprendre mon ouvrage et ne surtout pas me laisser distraire. Je débute ma leçon par l’enfilage de la petite culotte, même si je pense que cacher une si jolie chose est un crime, je poursuis tout de même mon travail.Puis, vient la guêpière ( ce moment là n’a pas été de tout repos, mais, inutile de nous attarder là-dessus) . Bien entendu, j’ai dû lui montrer comment enfiler une paire de bas. Même s’il enregistrait mes conseils comme un élève assidu, je sentais bien que ce n’était pas la première fois qu’il se livrait à ce genre de jeu. Enfin, vint le tailleur. J’avais une frousse noire qu’il ne puisse se glisser dedans mais, par bonheur, l’opération s’acheva sans encombre. Vous affirmer que l’ensemble lui allait à merveille me paraîtrais aujourd’hui hasardeux mais, il n’était pas ridicule, loin de là ! J’ajoutais une touche finale à mon travail avec une de mes perruques réglables que j’arrivai à fixer sur son crâne. Je l’accompagnai face au miroir de la penderie et le laissai quelques secondes savourer ce moment. Sans aucun doute possible, il était aux anges. Je me glissai derrière lui et lui caressai les fesses, puis les seins.. Il se mit à glousser ! Lorsque ma main remonta lentement sous la jupe du tailleur à la rencontre du bas, il frissonna… Mummmmm… C’était simplement délicieux d’échanger les rôles ainsi. Il devait bien sentir mon désir contre ses fesses, comme il m’arrive si souvent de le sentir, moi aussi, lorsque mes amis me caressent si sensuellement face au miroir. Ses petits soupirs plaintifs ne trompaient pas.. L’homme appréciait vraiment mon expérience...tant mieux.

D’une caresse l’autre, nous nous retrouvâmes sur le grand lit. Le tailleur reposait sagement sur une chaise près de nous et mon élève allongé dans une pause langoureuse. L’épisode caresses avait fort bien rempli son rôle si j’en jugeai par la splendide déformation de la petite culotte. J’étais occupée (très occupée, même) a lécher le gland magnifique qui pointait en transparence sous le tissu. Depuis quelques minutes mon client ne cessait de répéter d’une voix câline : « oui, chéri.. oui.. » Jouant à la perfection son rôle de femme comblée, il se trémoussait sous mes petits coups de langue, comme une chatte en chaleur. Quand j’écartai enfin la culotte pour happer sa bite à pleine bouche, il poussa un « Oh ! » de surprise avant de s’abandonner totalement . Décidément cet homme là avait de la ressource et un sacré tempérament. Il se conduisait comme une belle petite salope, comme me l’aurait suggéré quelques-uns de mes bons amis.
Très excitée moi aussi, je retournai sans ménagement la belle petite pour qu’elle me fasse admirer son postérieur. Je me mis à frapper son beau cul avec mon sexe. Je bandai si fort que l’exercice n’avait rien de la caresse mais ressemblait plutôt à une gentille flagellation.
-Oui...Oui...Oui… répétait ma conquête.
Lorsque je lui plantai mon dard sans ménagement , elle se mit à couiner sur le champ. Mon Dieu, Quel tempérament !
-Baise-moi… Baise-moi, chéri !
-Oui, ma salope, tu aimes la bite, hein ?
-Oui… Oui, j’adore… Encore !
Je passai à la vitesse supérieure, les mains crispées sur ses hanches généreuses dans la position d’un cavalier émérite. Nos cris se mêlèrent dans une joyeuse pagaille. Les « han ! » les « oh ! » et les « Ahhhh » ponctuaient ce concert de râles sibilants. Je lui claquait les fesses en lâchant quelques « salope » par ci par là, redoublant de vigueur à chaque petit cris.
Lorsque le plus grand, le grand râle de l’orgasme, vint balayer ses sujets, j’étais encore à califourchon sur elle et la dame s’effondra. Je la besognai pourtant jusqu’à ce que le râle se transforme en soupir et ne devienne moribond.
Il était allongé, la bouche grande ouverte, tentant de retrouver une respiration normale, quand je lui fourrai ma bite dans la bouche.
-Lèche moi tout ça ! Ordonnais-je d’une voix forte.
Sa réponse se noya dans un grognement de satisfaction et Il s’appliqua a me nettoyer le sexe en traquant l’ultime petite goutte de semence sur mes cuisses, sous mes couilles et même dans mon petit trou. Quelle langue experte ! Une vraie professionnelle !
Plus tard , pendant la bonne heure passée à ranger l’appartement, je pensai : Pas de doute possible, ma seconde journée de call-girl s’était bien déroulée et je me félicitai pour ma faculté d’improvisation. Qu’allait me réserver la troisième ?





Borttagna



Publicerad av Damemature
3 år sedan
Kommentarer
2
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hummmmmmmmmmmm
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kousen84
Ah ces 5 à 7 de Damemature, on ne s'en lasse pas...?
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