3 générations d’orifices

Mes beaux parents demeurent dans un RPA, une résidence de personnes âgées. À l’occasion pour éviter de payer des frais de maintenance, j’effectue les travaux dans leurs appartements. Ce matin, je vais chez eux pour réparer une porte qui ferme mal. J’entends ma belle-mère parler avec une autre personne au téléphone. Lorsqu’elle raccroche, elle me demande si je pourrais aller aider Madame Roy. Elle n’est pas très riche et plusieurs choses sont à réparer chez elle. Je me rends à l’étage du dessous et je cogne et lorsqu’elle ouvre la porte, je découvre une belle femme d’environ 75 ans qui semble très en forme avec un corps magnifique pour son âge. Je suis troublé sans savoir pourquoi.

Elle avait quelques ampoules à changer et d’autres travaux dont je n’avais pas les outils avec moi. Je termine de changer les ampoules.

Madame Roy en face de moi me demande de lui donner la vielle ampoule et de ne pas bouger. Elle la dépose sur le meuble près d’elle. Je suis dans l’escabeau immobile attendant ses instructions. Elle commence à me caresser mes cuisses. Elle me regarde et me dit : Je n’ai pas beaucoup d’argent pour toi, mais, je peux te payer autrement. Elle déplace et remonte sa main en dessous de mon short et prends mon membre entre ses doigts. Je reste figé sur place. Je commence à bander devant une personne du double de mon âge. De son autre main, elle me retire mon vêtement. Mon pénis pointe vers le plafond à la hauteur de son visage. Je ne sais pas pourquoi, mais, je suis vraiment dur. Elle me masturbe quelques minutes, me complimentant sur la grosseur et la dureté de ma tige. Je suis estomaqué. Elle arrête le vas et vient et entre ses doigts dans sa bouche. Elle retire ses prothèses dentaires. Un filet de bave suit les 2 dentiers. Elle les dépose sur le meuble à côté de l’ampoule et approche sa bouche de mon gland. Elle me fixe dans les yeux et me promet la meilleure fellation que j’ai jamais eu. Je vois disparaitre mon pénis dans sa bouche. Elle m’aspire le gland. Incroyable, c’est doux, je retiens sa tête pour qu’elle ralentisse. Elle arrête un instant et recommence de plus belle. Je ne tiens pas 3 minutes et j’éjacule tout ce que j’ai dans sa bouche. J’ai presque perdu pieds dans l’escabeau. Elle avale chaque jet de sperme et continue de me sucer. Elle me lâche enfin, mon membre visqueux glisse sur son menton. Elle prend ses dents et les remets en place. Elle me regarde et me sourit. Et puis, me demande-t-elle? Je la remercie de m’avoir fait vivre ce moment. Avant de quitter son appartement, elle me demande si je peux revenir demain pour continuer les travaux. Comment refuser.

Le lendemain, je me rends chez elle. J’effectue les travaux en semi-érection et le gland qui coule de précum en attendant ma récompense. Je ramasse mes outils et je m’assoie sur le fauteuil. Est-ce que tu veux la même paie qu’hier? Je la regarde et je baisse mon short. Je suis déjà en érection, le gland humide. J’attendais ce moment. Elle retire ses dents, déplace un coussin sur le sol et vient s’installer à genou entre mes jambes. Sans préliminaire, elle commence à me sucer. Moins surpris que la veille, je profite de sa bouche experte sans dents qui frotte sur la peau. C’est moins intense qu’hier, elle prend son temps. Les sensations sont superbes. Mais 10 minutes suffisent pour que je jouisse au fond de sa gorge. Quelques instants plus tard, quelqu’un cogne à la porte et on entend des clés dans la serrure. Elle lâche ma queue, remet ses dents et j’ai juste le temps de remonter mon short que la porte ouvre. C’est sa fille qui lui rend visite.

Elle me présente Valérie, dans la même tranche d’âge que moi. Contrairement à sa mère, elle est assez enrobée, une paire de seins et des fesses très généreuses. Son visage est très joli comme celui de sa génitrice. Sa mère nous laisse quelques instants avant d’entrer dans la salle de bain. Recevoir sa fille avec la bouche pleine de semence, c’est n’est pas très adéquat. Valérie me demande si je pouvais aller tailler sa haie de cèdre dans l’été. J’accepte sans hésiter. Madame Roy revient et me demande si je pourrais peinturer sa chambre. On fixe les travaux pour le weekend suivant.

J’arrive tôt le matin et je commence les travaux de peinture. Quelques heures plus tard, je termine, je suis en sueur. Il fait chaud dans la pièce. Je me masse le dos et elle me demande si je voudrais un massage. Elle fouille dans un tiroir et quitte la pièce avec un morceau de vêtement. Avant de fermer la porte, elle me demande de me coucher sur le ventre. J’enlève la bâche de plastique sur le lit et je me déshabille. J’hésite, est-ce que je dois enlever mon boxer? Pourquoi pas, je n’ai rien à lui caché de mon anatomie. En pleine érection, je me couche sur le ventre en plaçant ma queue pour être confortable.

Elle cogne avant d’entrer. Je ne vois pas, la tête dans l’oreiller. Elle embarque sur le lit et commence à me masser les pieds. Elle remonte le long de mes jambes sans toucher à mes fesses. Elle se déplace pour toucher mon dos. J’adore l’odeur de vanille de son huile de massage. Je m’endors presque. J’ai perdu mon érection du départ. Elle approche sa bouche de mon oreille et me demande si je voudrais relaxer encore plus. Un frisson parcourt mon corps. Je grogne pour accepter. Mon sexe se réveille de nouveau. Elle fait couler de l’huile dans mon sillon et me masse les fesses. J’entends un drôle de bruit. Je comprends qu’elle enfile un gant. Je sens le latex touché ma rondelle. Elle me masse mon anus doucement. Hummm, je suis aux anges. Elle pousse un peu pour relaxer mon sphincter. Quelques minutes suffisent pour que son doigt pénètre en moi. Elle trouve ma prostate et pousse dessus avec des mouvements lent et régulier. Je sens mon gland coulé sur mon ventre. Elle retire son doigt et fais couler de l’huile sur mon trou qui se referme lentement. Elle entre 2 et puis 3 doigts. Elle accélère le rythme, me baissant littéralement le cul. Je gigote sur le lit, je suis sur le bord de jouir. Elle arrête et retire ses doigts.

Elle me demande de me retourner. Je la regarde, elle est habillée avec une longue chemise de nuit blanche. Je ne distingue rien de son intimité. Elle retire son gant et verse de l’huile sur mon membre sur le bord d’exploser. Elle regarde l’huile couler le long de mon pénis dur comme une barre. Elle semble hésitante. Elle revient sur lit et s’assoie sur moi. Je vois ma queue disparaitre en dessous de son vêtement. Je sens mon gland sensible frotté sur les poils de son pubis. Avec sa main, elle guide mon gland en elle et s’assoie sur moi. Je ressens la chaleur de sa vulve entouré ma tige. Je sens son corps vibré et lorsqu’elle lâche un petit cri étouffé, je ne peux me contrôler et je jouis en elle. Elle réagit à chaque jet qui sors de mon gland. La séance de stimulation de mon anus a augmenté considérablement la quantité de sperme. Elle arrête de bouger et se baisse pour me masser le ventre. Quelques larmes coulent. Elle me remercie de l’avoir fait jouir. Je débande doucement en elle. Elle se relève et je ne vois toujours pas son entrejambe. Elle utilise sa nuisette pour essuyer mon sperme qui coule sur ses jambes. Elle quitte la pièce. Je m’habille et elle m’embrasse sur la bouche encore sur le choc de son orgasme rapide. Elle me dit à demain.

J’ai de la difficulté à dormir, je me demande ce qui va arriver demain. Nous avons vécu 2 orgasmes incroyable. Le lendemain, j’arrive chez elle. Madame Roy est très enjouée, de bonne humeur. Je retourne à ma peinture pour terminer la deuxième couche. Aucune allusion à ce qui s’est passé la veille pendant l’avant midi. Vers Je 11H00, je termine et je ramasse mes choses. Elle me demande de sortir de la chambre et l’attendre de l’autre coté de la porte. Je ne prends pas de chance et je me déshabille. Non gland est encore humide, j’ai anticipé la finale et ça m’a excité. Elle de demande d’entrer. J’ouvre la porte, elle est en avant de moi en robe de chambre. Elle me regarde de la tête au pieds et me dit que je suis beau. Je m’approche d’elle et je dirige ma bouche vers la sienne. Je l’embrasse de longues secondes. Elle en profite pour entourer ma verge avec ses doigts. Je me recule un peu et je tire sur la bande de tissus qui ferme sa robe de chambre. Elle me retient, hésitante. Je prends sa main et je la dirige vers mon pénis. Elle me sourit et je découvre ce qu’elle me cachait hier. Le vêtement tombe au sol. Je n’en crois pas mes yeux. Un corset rouge avec des portes jarretelles et des bas de nylon assorti. Ses seins sont comprimés dans le corset et elle ne porte pas de petites culottes. Je vois une touffe de poils grisâtre entre ses jambes. Je lui dis qu’elle est sexy et que je la désire. Je la pousse doucement pour qu’elle s’assoit sur le bord du lit. Je m’installe entre ses jambes. Elle me regarde, nu entre ses jambes. Elle me complimente, se trouve chanceuse d’avoir un bel homme viril près d’elle. Je touche doucement sa poitrine, son ventre pour finalement lui demander de se coucher sur le dos. J’approche ma bouche de son entre jambe et je lui liche les lèvres. J’entre ma langue dans sa vulve chaude. Elle gigotte, serre ses cuisses sur ma tête. Je relève la tête et elle me donne une bouteille de lubrifiant. Je me relève debout et elle me regarde m’enduire le membre. Je retourne entre ses jambes et je la pénètre lentement. Ses yeux sont fermés. J’accélère le mouvement et je ressens son premier orgasme. Je m’immobilise le temps qu’elle reprenne son souffle. Elle en profite pour reculer sur lit, ce qui fis sortir mon membre. J’embarque par-dessus elle et je la pénètre de nouveau en missionnaire. On fait l‘amour pendant au moins 1 heure. Avec des pauses bien mérité. Elle me dit qu’elle est satisfaite et me demande comment je voudrais jouir.

Je me lève debout et je lui demande d’enlever son dentier. Elle me sourit et viens s’installer à genou devant moi. Je pousse sur son corset pour découvrir ses seins qu’elle me cache depuis un moment. Elle le détache et le baisse au niveau de son ventre. Une paire de seins mous tombent vers le bas. Elle ne me laisse pas le temps d’admirer la scène et prends mon pénis dans sa bouche. La succion est t’elle que je pensais que mes testicules allaient sortir par mon gland. 30 secondes suffisent pour me faire exploser. Elle me garde en bouche, j’entends seulement le bruit de sa gorge avalant mon sperme. Elle se relève et je peux finalement prendre en main ses seins usée par le temps. Je quitte, heureux et satisfait.

2 semaines plus tard, je me rends chez sa fille pour tailler sa haie de cèdre. J’arrive tôt le matin pour éviter les grosses chaleurs. Je termine vers 13H00. Valérie me demande si je voudrais l’accompagner dans le spa. Je n’ai pas de costume de bain, je garde mon boxer. Elle revient avec un bikini un peu trop petit pour ses formes. On entre dans le spa et on discute. Elle me demande si sa mère m’avait payé suffisamment. Mes yeux brillent et je lui dis, bien sûr. Elle remarque mon changement de ton. Explique-toi? J’étais mal à l’aise de lui dire que j’avais forniqué avec sa mère. Un moment de silence s’installe. Elle me regarde et me demande si elle m’avait sucé avant son entré chez elle? Je rougis de honte et j’acquiesce. Je comprends pourquoi ma mère ne m’a pas embrassé comme a chaque fois que je lui rends visite. Elle suce bien? Je ne veux pas répondre à cette question. Dis-le-moi? J’ai finalement avoué que c’était ma meilleure pipe à vie. Son pied glisse sur ma jambe et ses orteils touche mon membre. Humm, bien dur et d’une bonne grosseur. Elle retire son haut de bikini. Ses gros seins flottent à la surface de l’eau. Elle me demande de m’assoir sur le bord du spa. Elle me retire mon boxer et me masturbe. Je durci rapidement. Elle approche ses seins et les frottent sur mon pénis. Elle sort du spa et je la suis. Elle s’installe à genou devant moi et ouvre la bouche. Elle me suce pendant quelques instants. Elle se relève et me demande si j’ai aimé. Bien sûr, mais ta mère sans ses dents, c’est imbattable. Je masse ses gros seins et je descends vers le bas, j’entre mes doigts et je découvre un entrejambe sans poils. Elle mouille, je glisse mon doigt dans sa fente et j’entre un doigt. Elle me regarde en serrant ma tige et me demande de la baisser. Elle retire son bas de maillot et s’installe en levrette sur un matelas de sol. Le cul dans les airs, les seins qui frottent sur le tapis, l’invitation est trop excitante. Je sépare ses grosses fesses et je vois ses 2 trous. J’approche mon gland de sa vulve et je pousse. En face de moi, il y a une cabane avec une vitre miroir. Je la vois, le visage envahi par le plaisir. Entre 2 soupirs, elle me demande de ne pas jouir en elle. Je continue encore un peu et je sors juste à temps. Je prends ma queue en main et je joui sur son dos. Je regarde dans la fenêtre chaque jet sortir de mon gland. J’essuis ma semence sur son dos avec une serviette et on se relève. Elle m’embrasse et me dit qu’elle a passé un bon moment.

Je reviens le lendemain pour terminer le travail. Je ne vois pas Valérie, seulement son gars de 20 ans couché sur une chaise près du spa. Je remarque une énorme bosse dans son speedo. Il est bien monté le jeune. Vers 10H00, je m’approche de Loic et je lui dis que j’ai terminé. Il me demande si je veux l’accompagner dans le spa. Il est cool, j’accepte, sans arrière-pensée, comme la veille, je garde mon boxer et on discute de tout et de rien. Il me dit qu’il nous a observé faire l’amour hier. Tu es un bon amant, je l’ai vu dans les yeux de ma mère lorsqu’elle a joui. Il ne fallu pas longtemps pour comprendre que la vitre miroir servait d’endroit de voyeur. Il me dit qu’il a joui juste après moi. Je lui demande si ça l’excite de voir sa mère. Il me dit non, c’est les queues de ses amants que j’aime voir gicler. Comme sa mère hier, il glisse son pied entre mes jambes. Je n’ai jamais eu d’attirance pour les hommes, mais, inconsciemment, je bande sous ses caresses. Il se relève et baisse son speedo. Une énorme queue tombe vers le bas. Je n’avais jamais vu ça, seulement dans les films pornos. Je me lève à mon tour et il descend mon boxer. Contrairement à lui, je suis en érection. On sort du spa et comme sa mère, il se met à genou devant moi et commence à me sucer. Je l’arrête après quelques minutes. Il se relève en s’essuyant la bouche. Sa queue a pris un peu de volume. J’approche ma main et pour la première fois, je touche à un autre gars. Elle est lourde, mon doigt glisse sur le précum qui sors de son gland. Il me dit qu’il est incapable de bander assez pour pénétrer qui que ce soit. J’étais hypnotisé par son entre jambe. Il me demande si je veux gouter. Sans hésiter, je tombe à genou devant lui. Je me doute un peu que sa mère nous observe en arrière de la vitre. Je liche son gland et j’essai de l’entrer dans ma bouche. J’arrive à peine à entrer le quart de sa tige. J’y prends goût, j’adore la sensation et le goût. Il se retire quelques minutes plus tard. Je n'y crois pas, il s’installe en levrette dans la même position que sa mère et me demande de le prendre. Sa queue touche le sol. Incroyable. Je caresse ses fesses athlétiques et je regarde son petit trou. Il me donne une bouteille de lubrifiant. Je pousse 1 doigts en lui en pensant le dilater un peu. Il m’arrête et demande ma queue. Je lubrifie ma tige et je pousse mon gland en lui suivi du reste. J’entre sans difficulté. Je l’encule pendant un moment. La position devenant inconfortable, je me retire. Il me demande de me coucher sur le dos. Il embarque sur moi face à la vitre et entre mon pénis en lui. Son lourd membre cogne sur mon ventre. Je le prends en main et je le masturbe. Il accélère la cadence et me demande de continuer de le toucher. Je sens son corps se raidir et un flot de sperme sors de son gland. Pas de pression, juste un écoulement constant de semence. Le liquide chaud se disperse sur mon ventre. Je jouis à mon tour en lui. Il se relève un peu pour faire sortir ma verge, je vois mon sperme sortir de son anus et couler sur moi. Il se couche a coté de moi essayant de reprendre son souffle. Je glisse mes doigts en mélangeant nos spermes. J’ai vécu un beau moment. Une première expérience homosexuel incroyable.

Je me relève et je suis curieux d’aller voir si une voyeuse nous a regardé. J’ouvre la porte a coté de la vitre et sans surprise, Valérie est là nue, un dildo en main. Je regarde autour et c’est vraiment un endroit aménagé pour le voyeurisme. Une chaise longue confortable, une table avec des dildos, des bouteilles de lubrifiant et des boîtes de mouchoir. Elle me regarde dégoulinant de sperme et me demande de la licher. Je vois son gars au travers de la vitre regardé dans notre direction.
Je me couche sur le dos et elle embarque sur moi. Elle pousse son entre jambe sur ma bouche, je fais de mon mieux considérant le fait qu’elle m’écrase. Elle lâche un cri et arrête de bouger. Elle se retire en sueur. Mon visage est recouvert de cyprine.

Je me relève et elle demande à Loic de me conduire dans la douche. Nu tout les deux, on entre dans la salle de bain. Il ouvre et ajuste la température de l’eau et me laisse entrer. Je me mouille le visage. Quelques instants plus tard, je sens Loic me frotter le dos. Je me retourne et il termine de me laver. J’en profite pour lui faire le même traitement. On reste immobile face à face profitant de l’eau pour se toucher nos membres. Je lui demande pourquoi il ne pouvait pas bander.

Il m’explique qu’entre 16 et 18 ans, il avait consulté des spécialistes et les solutions n’étaient pas nombreuses. Il n’avait pas assez de sang qui se rendait. Les expériences avec les filles ont toujours été un échec. L’été de mes 18 ans, mon oncle m’invite à une semaine de pêche. On arrive au chalet, plutôt, un petit camp avec un lit au centre de la pièce. Le soir venu, je me couche et il s’installe en arrière de moi. On jase longuement et il m’avoue être au courant de ma situation. Ma mère lui avait tout raconté. Je savais qu’il était bisexuel. Il m’offre de me montrer une autre façon de me satisfaire et de satisfaire un autre homme. Après un long moment de silence, je pris sa main et je la dirige sur mon boxer. Il me masse et prends conscience de la grosseur de mon pénis. Il me tourne sur le dos et retire mon bas. Il fait noir, mais, je sens son souffle sur mon gland. Pendant une trentaine de minutes, il liche mes testicules, mon membre et finalement, il me fit ma première vraie fellation. Je joui rapidement dans sa bouche. Il avale ce qui peut, mais, c’était trop pour lui et laisse échapper le restant sur mon ventre. Il m’essui et me souhaite bonne nuit sans rien demander. Curieux, le lendemain matin, je prends sa tige au repos et je la caresse. Il ne tarde pas à devenir dure. C’est la première fois que je ressens un pénis se gorger de sang. Je suis jaloux, il se réveille et me laisse faire. Je le masturbe doucement, découvrant pour la première fois une érection. Il joui entre mes doigts, ses jets de spermes tombent sur moi. Une autre nouveauté pour moi. Il me remercie et me demande de m’installer sur le ventre. Il commence à m’embrasser les fesses et mon anus. Je ne bouge pas. Il me liche pendant une vingtaine de minutes, entrant sa langue un petit peu en moi. Son doigt remplace sa langue. Il pousse doucement et ne rencontre pas de restriction. Je suis détendu et en confiance. Il me masse ma prostate, je sens mon gland coulé sans comprendre pourquoi. Il se retire et je me tourne sur le dos. Il entre à nouveau son doigt et prend mon gland dans sa bouche. Quelques minutes plus tard, mon corps se tend et j’ai le plus gros orgasme de ma vie. Je vois mon sperme couler entre ses lèvres. Je ne fini pas de me vider dans sa bouche. Il arrête et je m’endors presque immédiatement. Je me lève quelques heures plus tard. Je rejoins mon oncle dehors sur le bord du feu. On mange et je lui avoue que j’ai passé la meilleure nuit de ma vie. 3 jours plus tard et les suivants, il me sodomise à tous les soirs et me suce le matin. J’avais découvert une autre facette de moi et j’était plus heureux.

Je sentais sa queue se gonfler légèrement sous l’eau pendant son récit, je m’agenouille et je commence à le sucer. Il prend ma tête entre ses mains et guide ma fellation. J’en ai profité une dizaine de minutes avant qu’il se vide dans ma bouche. Pour cette première fois, je n’ose pas avaler et je laisse couler sa semence sur mon corps. Je me relève et le remercie de m’avoir initié.

Je me considère chanceux d’avoir rencontré cette famille. Avoir pu insérer ma queue dans chaque génération, wow. Je ne refuse jamais de travaux lorsqu’ils ont besoin de moi.

Par Monti2003
Publicerad av monti2003
11 månader sedan
Kommentarer
7
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monti2003
till solotimeout : Thanks xx
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solotimeout
A great story - I could remember just enough French to get about 80% of that, and it was plenty!
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monti2003
till Plonk123 : Thanks xx
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Plonk123
Beautiful stories . 🥰💦
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Sissy_Lory
Toujours exquis!
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monti2003
till mmaccho : Fait plaisir xx
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Quelle imagination! Toujours excitantes tes histoires. Merci.
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